Les pâtes longues et fines : spaghetti, taglioni, linguine, etc.
Elles sont idéales pour les sauces liquides qui glissent : à la tomate, à base d’huile d’olive, de pesto ou aux fruits de mer.
Exemples : les sauces bolognaises, pesto et carbonara.
Les pâtes creuses et en spirale : rigatoni, torti, penne, etc.
Ces dernières conviennent aux sauces tomate mijotées, plus épaisses, contenant des éléments solides.
Ce sont celles qu’il faut utiliser pour les salades.
Les pâtes rubans : tagliatelle, papardelle, lasagnette, etc.
Elles s’associent bien avec des sauces à base de tomate, de champignons, de fromage, de crème et de jambon ou avec une sauce bolognaise.
Les pâtes courtes un peu creuses type orechiette ou cavatelli sont idéales pour les sauces avec des morceaux de légumes ou des fruits de mer.
D’autres pâtes sont conçues pour être farcies comme les cannelloni, tortellini, ravioli. Elles conviennent parfaitement comme plats gratinés.
Les pâtes aux œufs sont utilisées de préférence pour les sauces à base de crème et de beurre car la sauce y adhère mieux et les goûts se marient bien.
Pour les autres sauces, on vous conseille des pâtes de semoule de blé dur.
En ce qui concerne la cuisson des pâtes, tout dépend de leurs formes et de leurs ingrédients.
Les pâtes longues : les enfoncer dans l’eau au fur et à mesure de leur ramollissement par l’eau bouillante.
Les pâtes sèches : la cuisson parfaite pour ces pâtes c’est de les faire al dente, c’est-à-dire tendres mais légèrement croquantes sous la dent. Elles sont alors meilleures et plus saines car elles constituent des sucres lents.
Trop cuites, elles deviennent des sucres rapides.
Les pâtes fraîches : généralement, il suffit d’une à cinq minutes pour les cuire, sinon elles deviennent molles et collantes. Les tagliatelles sont prêtes dès qu’elles remontent à la surface.
Les pâtes farcies : portez l’eau à ébullition puis baissez le feu pour obtenir une eau frémissante.
Car si elles restent trop longtemps dans l’eau bouillante, la farce des pâtes risque d’en sortir.