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 Antibes (06)

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jacotte
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jacotte


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MessageSujet: Antibes (06)   Antibes (06) EmptyMer 14 Mai - 14:59:49

Antibes Juan-les-Pins (Antíbol selon la norme classique ou Antibo selon la norme mistralienne) est une commune française, située dans le département des Alpes-Maritimes et la région Provence-Alpes-Côte d'Azur.
Ses habitants sont les Antibois (en occitan provençal antibolencs / antiboulen).

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Héraldique

Blasonnement des armes traditionnelles de la ville d'Antibes :

Antibes (06) -antib11
Armoiries de la ville d'Antibes


« D'azur, à une croix d'argent cantonnée de quatre fleurs de lis d'or, au lambel à trois pendants de gueules, brochant sur la croix, au chef d'azur chargé de trois fleurs de lis d'or. »
tel que rapporté par Malte-Brun, dans la France illustrée (1882).
Surmontée de la bannière « Fidei Servandae Exemplum 1815 »
L'origine des armoiries de la ville remonterait au XIe siècle, où les croisés seraient partis du port d'Antibes pour la première croisade avec un pavillon bleu à croix blanche. Le chef, le lambel de gueules et les quatre fleurs de lys sont introduites à partir des armes de la maison d'Anjou-Sicile, à la tête du comté de Provence depuis le XIIIe siècle.
La bannière « Fidei Servandae Exemplum 1815 » qui surmonte le blason est accordée par Louis XVIII à sa « bonne ville d'Antibes », titre restitué à cette occasion (après avoir été retiré par Napoléon) pour avoir fermé ses portes à l'empereur, de retour de l'île d'Elbe, à son débarquement à Golfe-Juan en 1815.


Histoire

Les origines

D'après les travaux anciens, Antibes aurait été fondée au Ve siècle av. J.-C. ou au IVe siècle av. J.-C. par des Phocéens de Marseille, lesquels, selon le géographe Victor Adolphe Malte-Brun, lui auraient donné son nom, Antipolis (la ville d'en face en langue grecque), en raison de sa « situation sur la côte en face de Nice ». Cette interprétation est erronée dans la mesure où Antipolis a été fondée avant Nikaia. D'après Paul Mejan, qui s'appuie sur les textes du IIe siècle de Scymnos de Chio et de Scylas, ce nom signifie en réalité « ville sur la côte en face de la Corse », les Phocéens étant censés avoir emprunté une voie maritime passant par la Corse pour parvenir sur le littoral provençal.
Des traces d'occupation remontant au premier âge du Fer ont été identifiées dans les secteurs du château et de la cathédrale. Sous la chapelle Saint-Esprit ont été mises au jour les restes d'habitat en terre crue. Le rocher d'Antibes semble indéniablement être à cette période le siège d'une communauté indigène entretenant des liens avec les populations méditerranéennes, notamment les Étrusques, comme le montre la présence de nombreuses amphores et de l'épave de la Love au large d'Antibes. Cependant, c'est avec le monde grec, par l'intermédiaire des Phocéens de Marseille, que les échanges restent les plus importants.

Antibes (06) -antib15
bastion St André près de la plage de l'Ilette à Antibes


Antipolis : une colonie de Marseille

Les recherches actuelles semblent montrer que la fondation d'Antipolis est relativement tardive. Elle s'inscrit dans le contexte du redéploiement colonial de Marseille (à partir du IVe siècle av. J.-C. qui cherche à assurer ses routes commerciales le long des côtes en installant des places fortes, comme Olbia à Hyères, ou des comptoirs, comme Antipolis et un peu plus tard Nikaia (Nice).
L'emplacement exact de la ville grecque est mal connu. Compte tenu des pratiques coloniales grecques, il est probable qu'elle ait été implantée au pied du rocher d'Antibes, sous la vieille ville actuelle. Des traces d'occupation d'époque hellénistique ont été identifiées autour du château et de l'église paroissiale (ancienne cathédrale)[5], rue du Bâteau, sous le cours Masséna et dans le jardin du presbytère, rue de la république notamment[6]. Le mobilier mis au jour durant toutes ces fouilles montre la prépondérance de produits importés de la région de Marseille, associés à des céramiques campaniennes et des céramiques indigènes.
Au début du IIe siècle av. J.-C.), les tribus ligures de la région, les Déceates et les Oxybiens, lancent des attaques répétées contre Antipolis et Nikaïa. Les Grecs de Marseille font appel à Rome, comme ils l'avaient déjà fait quelques années plus tôt contre la fédération des Salyens. En -154, le consul Quintus Opimius défait les Déceates et les Oxybiens et prend Aegythna, oppidum des Décéates. Malgré toutes les hypothèses émises depuis plus d'un siècle par les érudits locaux, on ne connait ni le lieu de rencontre de la bataille de 154 av. J.-C. ni le site d'Aegytna.
Les territoires "conquis" par les Romains sur les populations indigènes sont donnés aux Phocéens et administrés par l'intermédiaire de ses colonies, Antipolis et Nikaïa jusqu'en -49. En effet, Marseille ayant pris le parti de Pompée, César victorieux lui enlève ses colonies.

Antipolis à l'époque romaine

À la suite de la prise de Marseille, Antipolis comme Nikaïa sont détachées de leur métropole, Marseille. Sous l'administration de Lépide, Antipolis accède au statut de communauté autonome, probablement dès -43, puis, un peu plus tard sous Lépide ou Auguste, à celui de cité (civitas) de droit latin et est intégrée à la province de Narbonnaise.

Romanisation d'Antipolis

L'octroi du droit latin à Antipolis signifie l'accès des élites ou des notables locaux chargés de l'administration de la cité, à la citoyenneté romaine quelle que soit leur origine, Grecs de Marseille ou indigènes celtes ou ligures. S'y agrège en outre une part de citoyens italiens ou originaires d'autres provinces. L'épigraphie rend compte d'une rapide imposition du latin comme langue officielle dans le territoire d'Antipolis dès l'époque d'Auguste.
La quasi-totalité des noms de personnes et de divinités gravés dans la pierre sont de consonance latine. Ceci ne signifie pas la remplacement des Grecs et des indigènes par des Italiens ou des Romains, mais la fusion des populations et l'adoption de noms latins et de la culture romaine

Les limites de la ville et extension des nécropoles à l'époque romaine

On connaît tout aussi mal la ville romaine que la ville grecque en l'absence de travaux de grande ampleur. On peut toutefois envisager une extension un peu plus importante qu'à l'époque hellénistique et à peu près équivalente à celle de la ville moderne. En effet, lors de la destruction de l'enceinte Vauban à la fin du XIXe siècle, on a découvert des sépultures du Ier siècle au niveau du bastion Saint-André et de la rampe des Saleurs, des sépultures du IIe siècle au Ve siècle depuis la rive occidentale du port et autour de la chapelle Saint-Roch jusqu'au fort Carré, depuis la gare jusqu'au Chataigners.
L'extension des nécropoles donne, en négatif, les limites de l'urbanisation antique d'Antipolis. Elle montre, en outre, la vitalité de la cité jusqu'au Ve siècle, au plus tôt.

Une ville romaine type

Antipolis se pare de tous les monuments constitutifs d'une ville de l'époque romaine

Les aqueducs d'Antibes

La cité est alimentée en eau par deux aqueducs :

l'aqueduc de Fontvielle prend sa source à Biot et longe le littoral en contrebas de la Route nationale 7, le terre-plein de la voie de chemin de fer au niveau du fort Carré. On peut encore en voir un tronçon conservé dans une résidence au fond de l'anse Saint-Roch. Il a été retrouvé et restauré au XVIIIe siècle par le chevallier d'Aguillon pour alimenter la ville moderne en eau.
l'aqueduc dit de la Bouillide ou des Clausonnes prend sa source dans la commune de Valbonne. Des vestiges monumentaux de ponts-aqueducs se trouvent au quartier du Fugaret dans la forêt de la Valmasque et dans la commune de Vallauris. Il débouche vraisemblablement rue de la république. Il devait notamment alimenter la fontaine romaine du jardin du presbytère. Les travaux récents ont montré des parallèles avec l'aqueduc de Fréjus

Théâtre et amphithéâtre d'Antibes

Comme la plupart des villes romaines, Antipolis possédait les indispensables bâtiments de spectacles et divertissements. Un théâtre romain est attesté par la stèle funéraire de l'enfant Septentrion. L'inscription indique, de façon explicite, qu'il dansa et fut très apprécié sur la scène du théâtre d'Antipolis.

Un réseau de domus

Quelques fouilles dans la vieille-ville ont permis la mise au jour de structures d'habitat bien conservées et montrant un certain luxe. Parmi elles, les plus monumentales sont celles du jardin du presbytère de la rue Clemenceau. Celle-ci montre un plan comparable à celui des domus gallo-romaines telles que celles de Saint-Romain-en-Gal. De vastes pièces autour au sol en mosaïque s'organisent autour d'une cour intérieure possédant une fontaine de marbre. L'ensemble du mobilier permet une datation de la fin du IIIe siècle, bien qu'un état de la fin de l'époque hellénistique ou de la fin de la République romaine ait été identifié. Une autre demeure pavée de porphyre et de pierre verte semble aussi avoir été fouillée et rue des Palmiers et rue de la Blancherie. Le mobilier conservé au Musée d'Archéologie d'Antibes semble indiquer une occupation principale entre l'époque d'Auguste et le IVe siècle et au IIe siècle et du IVe siècle pour la seconde. On doit noter que le mobilier de la fin de l'époque hellénistique ou de la fin de la République romaine est présent sur les deux sites.

Antipolis durant l'Antiquité tardive

Antibes fut le siège d’un évêché depuis le IVe siècle jusqu'en 1244, date à laquelle le siège épiscopal fut transféré à Grasse. Les fouilles sous la chapelle Saint-Esprit ont permis d'identifier une église paléochrétienne remontant au Ve siècle. Elle semble avoir subi de nombreux remaniements jusqu'à l'époque carolingienne. Le bâtiment actuel a été totalement reconstruit au XVIe siècle.
C'est du Bas-Empire que l'on date habituellement la muraille qui sépare le sommet du rocher d'Antibes du reste de la Vieille-ville, ainsi que la porte encadrée de deux tours cours Masséna. On ne peut, pour autant, conclure à une rétraction de l'habitat urbain. En effet, les différentes fouilles dans la Vieille-ville ont livré d'importantes quantités de mobilier de l'Antiquité tardive. C'est notamment le cas de la domus du jardin du presbytère de la rue Clemenceau qui semble occupée jusqu'au Ve siècle, au plus tôt, ainsi que celles de la rue des Palmiers et de la rue de la Blancherie.Malgré la présence de quelques sépultures tardives isolées mises au jour dans le centre ville, près du cours Masséna ou dans le jardin du presbytère, l'espace sépulcral privilégié autour du port continu de s'étendre autour de la chapelle Saint-Roch, comme l'ont montré les fouilles des années 1950.
La présence de caveaux riches en mobilier et d'une sépulture contenant un coutelas autour de la cathédrale est à mettre en relation avec les pratiques funéraires paléochrétiennes : les morts ne sont plus rejetés hors du monde des vivants, mais enterrés au plus près des lieux sacrés autour desquels se regroupe aussi l'habitat.

Moyen Âge

Arrivent les Grimaldi, famille génoise alliée des Angevins et qui était de ce fait massivement présente en Provence orientale. Parmi ceux-ci, Luc et Marc Grimaldi, fils d'Antoine, avait avancé des fonds au Pape d'Avignon qui ne put ensuite rembourser sa dette. Par conséquent, les frères Grimaldi reçurent le fief d'Antibes - le plus beau port de la région - et y firent souche en 1384.


Époque Moderne

La Dédition de Nice de 1388 amena une frontière aux portes d'Antibes. Durant les rivalités entre François Ier et Charles Quint, les efforts de fortifications s'intensifièrent. Ils furent poursuivis jusqu'à la fin du règne d'Henri IV. Ce dernier avait racheté la ville en 1608 aux Grimaldi d'Antibes, qui s'installèrent alors au château de Cagnes jusqu'à la Révolution française. Cette branche est aujourd'hui éteinte, cependant un rameau collatéral, les Grimaldi de Puget, lui survit.

Époque Contemporaine

Économie à la fin du XIXe siècle

D'après le géographe Victor Adolphe Malte-Brun, la fin du XIXe siècle, la ville était peuplée de 6 752 habitants. L'économie était principalement agricole : jardins, vignes, vergers, en premier lieu tournée vers la culture du tabac, mais aussi de l'olivier, du mûrier (pour la soie), de l'oranger et des fleurs et plantes odoriférantes.
Les activités commerciales concernaient le bois, le textile, les poissons salés, les vins, la parfumerie, l'huile d'olive, les oranges, les fruits.
Il citait quelques rares activités industrielles comme la production d'huile d'olive, la distillerie d'essences de fleurs, la fabrication de vermicelles et de pâtes alimentaires, la céramique, les salaisons et les articles de marine.
Le port recevait annuellement 50 à 60 navires, et son cabotage était de 150 à 200 navires jaugeant 7 000 à 8 500 tonneaux

Antibes (06) -antib16

Prémices de changements

Le démantèlement des fortifications d'Antibes commença au cours du XIXe siècle, parallèlement à une urbanisation croissante en direction de l'intérieur des terres et du cap d'Antibes.
Dans le même temps se créait, en 1882, la station balnéaire de Juan-les-Pins.
Antibes reste toutefois une ville de garnison.
En 1906 elle accueille encore le 112e Régiment d'Infanterie et le 7e Bataillon de Chasseurs Alpins.
Pendant la Seconde Guerre mondiale le fort Carré servit de Centre de Rassemblement des Étrangers.

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MessageSujet: Re: Antibes (06)   Antibes (06) EmptyMer 14 Mai - 15:00:02

Lieux et monuments

Antibes (06) -antib12
Le cap d'Antibes
Le marché provençal
Marineland d'Antibes, créé en 1970 par le comte Roland de la Poype

Antibes (06) -antib13
Le musée Picasso
Le musée d'Archéologie
Le musée napoléonien
Le musée de la Tour qui retrace l'histoire d'Antibes au XXe siècle

Antibes (06) -antib14
Le phare de la Garoupe
Le fort carré et les remparts Vauban du vieil ANTIBES
Le port Vauban, un des plus grand port de plaisance d'Europe
La villa Eden Roc ou Hôtel du Cap
Le musée Peynet et du dessin humoristique, sur l'illustrateur créateur des « amoureux », dits de Peynet
Le chateau Salé où séjourna Bonaparte. Il est situé au fond d'une impasse derrière l'église de l'assomption, avenue Philippe Rochat.

Antibes (06) -antib18
tour de l'olivette


Patrimoine religieux

Église Notre-Dame de la Garoupe. Inscrite sur l'Inventaire supplémentaire des monuments historiques par arrêté du 29 octobre 1926, célèbre pour ses nombreux ex-voto.
Église paroissiale : chapelle Saint-Esprit et tour Grimaldi. Édifiée au XIIe siècle, sur l'emplacement d'une église paléochrétienne, puis remaniée au XVIIe siècle. Partiellement classée au titre des monuments historiques par arrêté du 16 octobre 1945.
Chapelle Saint-Jean, au croisement de la route de Saint-Jean et du chemin de Saint-Maymes, XVIIe siècle. Inscrite sur l'Inventaire supplémentaire des monuments historiques par arrêté du 14 décembre 1989
Chapelle Saint-Bernardin, 14 rue Rostand. Partiellement du XVIe siècle. Inscrite sur l'Inventaire supplémentaire des monuments historiques par arrêté du 13 mars 1995.

Antibes (06) -antib17


Patrimoine civil

Fort Carré construit mi XVIe siècle sous Henri II et développé fin XVIIe siècle sous Louis XIV par Vauban. Propriété de la Ville d'Antibes depuis 1997, il est ouvert au public depuis 1998. Classé au titre des monuments historiques par arrêtés successifs des 7 novembre 1906 et 20 août 1913, modifiés par décrets des 17 octobre 1937 et 19 octobre 1976.
Fontaine et colonne romaine, rue Georges-Clemenceau. Inscrits sur l'Inventaire supplémentaire des monuments historiques par arrêté du 31 mars 1928.
Château des Grimaldi, abritant l'actuel Musée Picasso. XVe et XVIe siècles. Classé au titre des monuments historiques par arrêté du 29 avril 1928.
Vestiges de l'aqueduc de Clausonnes, dans une propriété privée, au lieu-dit « Vallon du Fuguerret », à cheval sur la commune de Valbonne. Inscrits sur l'Inventaire supplémentaire des monuments historiques par arrêté du 25 juillet 1936.
Vestiges non datés, d'une enceinte gréco-romaine, dans une propriété privée. Inscrits sur l'Inventaire supplémentaire des monuments historiques par arrêté du 16 février 1939.
Bastide du Roy et ses jardins, propriété d'une société privée, avenue Jules-Grec. Bâtiment datant du XVIIIe siècle, partiellement protégé. Inscrit sur l'Inventaire supplémentaire des monuments historiques par arrêté du 6 juin 1988. Jardins créés en 1927. Inscrits sur l'Inventaire supplémentaire des monuments historiques par arrêté du 8 février 1990.
Phare de la Garoupe, presqu'île du cap d'Antibes. Édifié sur l'emplacement d'un ancien phare de 1837 détruit en 1944. Répertorié par les monuments historiques, sans être protégé.
Chateau Salé, caché au fond d'une impasse derrière l'église de l'Assomption et la cité Laval avenue Philippe Rochat. Bonaparte y séjourna en 1794 lorsqu'il commandait l'Armée d'Italie et le peintre Joseph Vernet réalisa son oeuvre "Port D'antibes", visible au Musée National de la Marine à Paris et copie proposée à Marineland, de cet endroit stratégique avant l'invasion du béton sur la Côte d'Azur.

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