Aimer, c'est se donner corps et âme.
Il est doux de pleurer, il est doux de sourire
Au souvenir des maux qu'on pourrait oublier
La bouche garde le silence
Pour écouter parler le coeur
Tu trouveras, dans la joie ou dans la peine,
Ma triste main pour soutenir la tienne,
Mon triste coeur pour ecouter le tien
Épargne-toi du moins le tourment de la haine ;
A défaut du pardon, laisse venir l'oubli.
La fortune, pour moi, n'est que la liberté.
Elle a cela de beau, de remuer le monde,
Que, dès qu'on la possède, il faut qu'on en réponde,
Et que, seule, elle met à l'air la volonté.
Qui vit sans jalousie, en ce bas monde, est comme
Celui qui dort sans lampe; il peut sentir le bras
Qui vient pour le frapper, mais il ne le voit pas
Ma mère, à toi je me confie.
Des écueils d'un monde trompeur
Écarte ma faible nacelle.
Je veux devoir tout mon bonheur
A la tendresse maternelle.
La vie est une rose dont chaque pétale est une illusion et chaque épine une réalité
A quoi sert de se quereller, quand le raccommodement est impossible ? Le plaisir des disputes, c'est de faire la paix
L'incertitude est de tous les tourments le plus difficile à supporter
C'est que la sagesse est un travail, et que pour être seulement raisonnable, il faut se donner beaucoup de mal, tandis que pour faire des sottises, il n'y a qu'à se laisser aller.
Pour réussir dans le monde, retenez bien ces trois maximes : voir, c'est savoir ; vouloir, c'est pouvoir ; oser, c'est avoir
Douces ou amères, les larmes soulagent toujours
Ce n'est quelquefois qu'en perdant ceux qu'on aime qu'on sent combien on les aimait
On ne badine pas avec l'amour.
Nul ne se connaît tant qu'il n'a pas souffert