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 édulcorant

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jacotte
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jacotte


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édulcorant Empty
MessageSujet: édulcorant   édulcorant EmptyVen 30 Nov - 13:22:51

Un édulcorant est un produit ayant un goût sucré.

Le plus souvent, le terme édulcorant fait référence à des produits qui donnent un goût sucré sans apporter de calories, ou qui donnent un goût sucré en apportant moins de calories que le sucre de table (saccharose).


Différents types d'édulcorants



Stricto sensu, un édulcorant est « une substance qui donne une saveur douce ».
Ainsi, le sucre de table (saccharose), le miel, le sirop d'érable, l'aspartame, la saccharine, l'acésulfame-K, le sucralose ou encore le maltitol sont autant d'édulcorants.

Toutefois, le mot édulcorant s'emploie le plus souvent pour désigner des produits qui donnent une saveur sucrée sans apporter de calories, ou qui donnent une saveur sucrée en apportant moins de calories que le sucre.

Parmi ces édulcorants, on en distingue deux types :

Les édulcorants intenses:
Ils ont un pouvoir sucrant élevé (le pouvoir sucrant du sucre de table est de 1).

Les polyols ou édulcorants pondéreux:
Ils ont un pouvoir sucrant assez proche de celui du sucre de table (de 0,5 à 1,4) ; ils sont utilisés notamment dans de nombreux chewing-gums et confiseries.


Question de l'innocuité des édulcorants intenses


En dehors des édulcorants comme le sucre de table, lui-même cible de critiques fréquentes, les édulcorants intenses font l'objet d'une certaine méfiance.
D'un autre côté, ils sont largement employés et plébiscités par une partie non négligeable de la population.

Certains pays comme le Japon ou l'Australie utilisent des édulcorants naturels comme le stévia et ont interdit l'usage des édulcorants artificiels (aspartame, saccharine) considéré comme nocifs.

En Europe, c'est plutôt l'opinion inverse qui prédomine influencée par la position des industriels, les géants de l’agroalimentaire tout comme les laboratoires pharmaceutiques, et un certain protectionnisme.

En 1991, la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis a interdit l’importation sous la pression du puissant lobby des édulcorants artificiels.
Une vaste campagne, soutenue par les Japonais, a aussitôt été lancée afin de lever cet interdit américain.

Sous la pression des consommateurs, la FDA a finalement autorisé, en 1995, la vente du stévia à titre de supplément.
Cependant, son usage est toujours interdit comme additif alimentaire que ce soit aux États-Unis, au Canada et dans les pays membres de l’Union européenne.

Les édulcorants intenses présentent en apparence plusieurs avantages :

Le premier est qu'ils permettent d'obtenir un goût sucré sans apport calorique, ce qui peut être utile notamment dans le cadre d'un régime hypocalorique, dans le cadre d'un régime de maintien du poids corporel, ou encore pour les personnes diabétiques, pour lesquelles la consommation de saccharose est en général déconseillée.
Ils sont pratiques d'emploi, présentés sous différentes formes facilement utilisables (tablettes, poudre, etc.).
Toutefois, ils sont parfois déconseillés par des diététiciens ou des nutritionnistes pour certaines raisons :

La raison invoquée le plus souvent est qu'ils entretiendraient le goût pour le sucre et qu'ainsi, les consommateurs réguliers de produits sucrés avec des édulcorants intenses auront tendance à choisir des produits plus sucrés, ce qui pourrait favoriser notamment l'obésité en augmentant l'apport calorique.
Une autre raison invoquée est que, en dépit de leur apport calorique nul, ils peuvent entraîner une réponse de l'insuline, quoique faible, étant donné leur saveur sucrée, ce qui peut ne pas être souhaitable dans certaines circonstances (notamment chez les diabétiques de type 2, en dehors des repas).

Par ailleurs, les édulcorants intenses sont régulièrement l'objet de diverses accusations.
Par exemple, l'aspartame serait impliqué dans les cas suivants : « Maux de tête, insomnies, fatigue chronique, cernes grises sous les yeux, baisse et troubles de la vue, réactions cutanées plus ou moins graves, rougeurs au visage, démangeaisons, prise de poids, dépression, chute plus ou moins importante des cheveux, faim et soif excessives, douleurs abdominales, ballonnements, diarrhées, douleurs articulaires, crampes, insomnies, pertes de mémoire, saignements de nez, vertiges, forte sensibilité aux bruits, sensation d'avoir froid même en plein été, problèmes menstruels, impuissance, problèmes sexuels, hyperventilation, attaques et convulsions, épilepsie, nausées, vomissements, hypo et hyperglycémies, baisse de l’intelligence, douleurs dans la poitrine, problèmes de thyroïde, tremblements, douleurs en avalant ou aussi en urinant, sensibilité aux infections, hypertension, asthme… Mais aussi troubles de la personnalité comme : soudaines crises d’agressivité parfois avec violences physiques, paranoïa, agoraphobie, phobies, paniques, sensations de « déjà vu », irritabilité, crises de démence, altération du caractère, difficulté de concentration, confusion, hyperactivité…
Et, plus grave, cancer du cerveau, rupture d'anévrisme, problèmes cardiaques, attaques d’apoplexie, et même mort ! »



Les édulcorants intenses et les polyols employés en alimentation humaine


Il existe de nombreuses molécules ayant un pouvoir sucrant plus ou moins élevé ; peu d'entre elles sont autorisées et réellement employées en alimentation humaine. (Le pouvoir sucrant est donné à titre indicatif.)

Les édulcorants intenses font l'objet d'une dose journalière admissible (DJA) : une consommation allant jusqu'à cette dose est considérée comme sûre par les instances officielles.
Dans la pratique et pour la population générale, la consommation d'édulcorants intenses est bien inférieure à la DJA. La DJA est exprimée en milligrammes d'édulcorant par kilogrammes de poids corporel.
Par exemple, la DJA d'une personne de 60 kg est de 40 x 60 = 2 400 mg.






« De plus, l'aspartame provoquerait des symptômes semblables aux maladies suivantes ou les aggraverait : fibromyalgie, arthrite, sclérose en plaques, maladie de Parkinson, lupus, diabète et complications diabétiques, épilepsie, maladie d'Alzheimer, lymphome, malformations congénitales, syndrome de fatigue chronique. » [5]

Les édulcorants intenses font l'objet de très nombreuses études contradictoires. Il en ressort que, même aux doses habituellement consommées, ces produits sont dans certains cas la cause de troubles spécifiques et alarmants, parmi lesquels 92 effets secondaires liés à l'aspartame et officiellement reconnus par la FDA (Food and Drug Administration) américaine depuis 1995 [6] mais aussi de certaines d'idéees recues puisque l'expérimentation n'a jamais été mené sur l'homme mais uniquement sur des animaux. [7]

Toutefois, les détracteurs de ses produits font remarquer que ces études sont en partie financées par l'industrie productrice de ces édulcorants, en particulier pour l'aspartame (commercialisé sous différents noms), fabriqué par Monsanto qui aurait été agréé par la FDA aux Etats-Unis dans des conditions douteuses, impliquant l'intervention directe de Donald Rumsfeld. Le soutien de l'industrie alimentaire diffusant ses produits est manifeste pour un marché potentiel immense, estimé à plus d'un milliard de dollars par an.[8]

De plus, les détracteurs de ses produits mettent également en avant le fait qu'on ne connaît pas les conséquences du mélange de plusieurs édulcorants alors que , fréquemment, l'aspartame et l'acésulfame-K sont employés simultanément. De même à des températures élevées, l'aspartame se transforme plus rapidement en méthanol avec des effets neurotoxiques.

L'aspartame est en principe déconseillé aux enfants ou en cas d'antécédents allergiques. Il doit impérativement être évité par les phénylcétonuriques. Ces personnes souffrent de phénylcétonurie, une maladie génétique rare, et présentent une allergie à la phénylalanine, dont l'aspartame est une source. En revanche, la phénylalanine en elle même ne pose pas de problèmes reconnus pour la population générale : c'est un acide aminé qui est présent à l'état naturel dans de nombreux aliments.

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